Malgré la hausse des coûts du pétrole, et en dépit des difficultés liées à l’embargo total imposé au Niger par la CEDEAO pendant plus de sept mois, le gouvernement a choisi de préserver le pouvoir d’achat des populations déjà durement affectées par la crise.
Au moment où certains pays voisins ont dû se résoudre à augmenter leurs tarifs, cette décision traduit la volonté de l’exécutif de mener une politique sociale et de lutter contre la vie chère, conformément aux priorités définies par les autorités de transition.