Les récents événements sécuritaires au Burkina Faso continuent de faire de grands débats au sein des populations qui réclament le rétablissement de la peine de mort pour traiter les traîtres de la Nation au même titre que les terroristes.
Des Organisations de la Société Civile lors d’une rencontre avec leurs sympathisants, tenue ce samedi 31 août 2024 à Ouagadougou ont demandé au gouvernement de rétablir nécessairement la peine de mort après avoir dénoncé les agissements de l’Ukraine qui soutient le terrorisme dans les pays du Sahel.
« Tout le monde sait que s’il y avait la peine de mort ce qui se passait aujourd’hui n’allait pas se passer. Si tu tue, on te tue et les autres là vont voir », a noté Aly Savadogo président du Réseau Africain pour la Solidarité et le Développement (RASD).
Sur les réseaux sociaux, dans les grains de thé et dans certains lieux publics, plusieurs personnes manifestent leur ambition de voir la peine de mort restaurée au Burkina. Ces personnes pensent que cela permettra d’atténuer l’influence des complices sur la sécurité du Pays.
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